Pour Eau & Rivières de Bretagne, le rapport de la Cour des Comptes est « un document historique qui fera date dans la lutte contre la prolifération des algues vertes ». « La plupart des constats émis dans le rapport sont faits par Eau & Rivières depuis des années. Enfin, les magistrats reconnaissent que les moyens alloués à la lutte contre les algues vertes ne sont pas à la hauteur de ce phénomène qui empoisonne nos plages, notre nature et notre santé », explique Arnaud Clugery, porte-parole d’Eau & Rivières.
La Cour des comptes indique que « le Sage (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux), que la chambre d’agriculture a refusé de valider, a repris cet objectif de 15 mg/l, en 2027. L’évolution des concentrations de nitrates à l’exutoire ne permet pas de conduire à une réduction significative de la prolifération en 2027. La modélisation Ifremer-Ceva, qui estimait que l’objectif à atteindre pour réduire de moitié la biomasse algale se situait à un niveau de concentration moyenne de 15 mg/l (de mai à septembre), date de 2009 : elle devrait être actualisée dans les meilleurs délais ».
La Cour des comptes indique que « le Sage (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux), que la chambre d’agriculture a refusé de valider, a repris cet objectif de 15 mg/l, en 2027. L’évolution des concentrations de nitrates à l’exutoire ne permet pas de conduire à une réduction significative de la prolifération en 2027. La modélisation Ifremer-Ceva, qui estimait que l’objectif à atteindre pour réduire de moitié la biomasse algale se situait à un niveau de concentration moyenne de 15 mg/l (de mai à septembre), date de 2009 : elle devrait être actualisée dans les meilleurs délais ».
